Investir dans une assurance-vie : combiner rendement et sécurité financière

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Parmi les placements destinés à faire grandir votre épargne : l’assurance-vie. Celle-ci offre de multiples atouts, tels qu’une grande flexibilité en matière de gestion de l’épargne et des supports, de même qu’une fiscalité avantageuse et la disponibilité des sommes investies à tout moment. Vous pouvez tout à fait combiner rendement et sécurité financière grâce aux différents supports d’investissement, allant des fonds en euros aux différentes classes d’actifs des supports en unité de compte.

 

Sécuriser votre portefeuille avec les fonds en euros

Vous misez sur des obligations d’entreprise et d’État en investissant dans des fonds en euros. Votre capital est garanti. Cependant, vous passez à côté d’un bon rendement, à la différence des unités de compte (UC) dont nous allons aussi parler dans cet article.

Si les fonds en euros ont connu une baisse progressive de leurs performances depuis plus 5 ans, une remontée est désormais possible grâce à la hausse des taux directeurs des banques depuis la mi-2022. Ce ne sont pas tous les contrats qui sauront toutefois tirer profit de cette hausse, mais ceux qui auront réorganisé la composition de leur portefeuille. De nouvelles obligations plus rentables sont en effet proposées sur le marché, et il appartient à l’assureur d’y souscrire ou de conserver les anciennes. Tout est donc question de stratégie opérée par ce dernier, s’il compte réaménager ses supports en fonds en euros (acquisition, revente) dans le but de redonner des couleurs au rendement de ses contrats monosupports. Ainsi, si les anciens taux étaient de 1.2%, voire en dessous de 1%, ceux attendus avec cette politique anti-inflationniste enclenchée par la Banque centrale européenne (BCE) seront de 2% à 2.3% en moyenne.

 

Profiter d’une meilleure performance avec les unités de compte (UC)

Les UC ont été injectés dans les supports des assurances-vie afin de pallier la perte de rendement des années précédentes. Elles sont constituées d’instruments financiers qui sont, pour la plupart, des Organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM).

Avec le succès grandissant et incontesté des produits pierre-papier, les assureurs ont également intégré ces derniers dans leurs supports, ceux-ci étant particulièrement reconnus pour leur excellent couple rendement-risques. C’est le cas des Sociétés civiles de placement immobilier (SCPI), avec leur rendement annuel moyen de 4.5%. Les autres placements pierre-papier rapportent également, mais dont les rendements fluctuent à la hausse comme à la baisse. Exemple : les Organismes de placement collectif immobilier (OPCI) qui sont très diversifiés, car contiennent à la fois des immeubles, des actions, des obligations et des liquidités. Les Sociétés d’investissement immobilier cotées (SIIC) sont aussi intégrées dans les UC des assurances-vie, de même que les Sociétés civiles immobilières (SCI).

Les fonds d’investissement alternatifs ne sont pas en reste, mais demeurent encore assez méconnus du grand public. Ce sont des titres ou des parts de sociétés investies dans les caves à vin, les groupements forestiers et agricoles, de même que l’or-papier.

Pour toutes ces différentes classes d’actifs, vous êtes délesté de toute contrainte de gestion, tout comme l’assureur lui-même. Ce dernier y souscrit auprès des gestionnaires accrédités qui sont des spécialistes en asset management, et qui en assurent la gestion complète. Il les propose ensuite aux épargnants dans le but de booster le rendement de leur portefeuille. En cas de désinvestissement, c’est l’assureur qui procède à la reprise, en tenant compte de la valeur de retrait qu’il aura préalablement fixé.

Attention, car les risques sont bien présents pour ces différents placements.

 

Jouir de la combinaison rendement/sécurité avec les fonds euro-croissance

Les fonds euro-croissance n’ont pas connu le véritable succès qui leur reviennent. Pourtant, ils combinent à la fois sécurité et rendement, à condition toutefois de détenir le contrat sur une période minimale de 8 ans.

Votre formation pour devenir agent immobilier

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Comment se passe une donation-partage ?

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Se séparer d’une partie de son patrimoine de son vivant se révèle avantageux pour les enfants, notamment en ce qui concerne les droits et les frais. La donation-partage a lieu en présence de plusieurs enfants et elle sera effectuée de manière équitable afin d’éviter les tensions et les éventuels conflits entre les héritiers. Elle peut toucher aussi bien la réserve héréditaire que la (recevoir la donation.

 

Les donataires : qui sont-ils ?

La donation-partage peut être réalisée auprès des enfants, des petits-enfants, voire auprès d’autres descendants, selon le choix du donateur. Réalisée auprès des descendants directs, elle concerne aussi bien les enfants actuels que ceux nés d’une union précédente. Si elle est effectuée auprès des petits-enfants, les conditions suivantes sont requises : l’accord non seulement de l’enfant qui consent expressément la transmission de la part qui lui revient, mais aussi des petits-enfants. La donation-partage peut également se faire à la fois auprès de son enfant (s’il est unique) et de ses petits-enfants.

Dans le cas où le donataire n’a pas d’enfant, les autres membres de la famille peuvent recevoir une partie de ses biens. Il s’agit dans ce cas des héritiers présomptifs, par exemple ses frères et sœurs, neveux et nièces, ou encore oncles et tantes. Ceux-ci sont les collatéraux privilégiés) [...]

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